Le surendettement constitue un réel problème du crédit pour les consommateurs. Pour cette raison, la loi Lagarde est sortie officiellement dans le Journal officiel le 1er décembre 2010. Son principal objectif est d’apporter plus de protection aux débiteurs sous plusieurs aspects.
Un choix réel entre emprunts amortissables et revolving
Auparavant, le choix effectué entre un crédit conso amortissable comme le crédit auto et le revolving se situait au niveau du taux. Maintenant, cette question de taux d’intérêt est largement dépassée par celle du montant à emprunter. Quand ce dernier est élevé, son taux le suit et vice-versa. Cela permet de réduire considérablement le taux bancaire sur la réserve d’argent.
Une souscription bien sécurisée
Auparavant, les clients se pressaient d’obtenir un crédit à cause de la publicité sans faire attention à sa situation financière. Ce temps est, désormais, révolu, car la banque a l’obligation d’évaluer la solvabilité de son client. De plus, pour éviter cette inconscience vis-à-vis des données importantes comme le taux dans l’annonce, les gros bonus n’existent plus. Seuls moins de 80 euros de bonus peuvent être proposés.
L’encadrement renforcé du crédit renouvelable
Le crédit renouvelable a entraîné beaucoup de familles dans le surendettement chaque année. Afin d’y remédier, ce prêt est désormais beaucoup plus transparent au niveau du délai de remboursement et des mensualités. La solvabilité de chaque client est primordiale avant de leur octroyer un prêt revolving. De plus, finis les crédits par carte bancaire sans l’autorisation du bénéficiaire.
Un avantage considérable pour l’assurance de l’emprunteur
Quand l’assurance est obligatoire pour un crédit comme en crédit immobilier, elle n’est plus imposée par la banque. Le client reste libre dans le choix de son assurance. Toutefois, pour encourager la souscription de celle proposée par la société de crédit, son taux devient beaucoup plus avantageux. Ainsi, les deux parties gagnent.